Gen. 3. 8-16 Jean 8. 41b-51
La voix de l’Eternel sur les eaux,
la voix de l’Eternel dans la puissance,
la voix de l’Eternel dans la splendeur,
la voix de l’Eternel brise les cèdres,
la voix de l’Eternel taille des flammes de feu,
la voix de l’Eternel fait trembler le désert.
La voix de l’Eternel épouvante Adam et Eve,
la voix de l’Eternel au milieu du jardin.
La voix sans paroles provoque la peur d’Adam et d’Eve,
elle provoque une peur panique : ils prennent la fuite.
Mais lorsque Dieu parle, sa Parole les fait sortir de leur cachette
Elle les fait sortir jusqu’à ce que leur vérité arrive au plein jour.
L’humanité, pécheresse dès le début.
Où es-tu ?, dit Dieu.
Où en suis-je ? Où en suis-je de ma vie ?
Où en suis-je de mes relations ?
La voix d’Eternel qui ne cesse pas m’interroger.
Suis-je prête à assumer ma vie devant Dieu
ou essayer de me cacher, faire comme si je n’existais pas ?
Ou bien verser la faute de mes échecs sur les autres,
éventuellement sur la société
Où es-tu, dit Dieu ?
As-tu pris la responsabilité de ta vie ?
As-tu pris le temps de faire le bilan de ta journée, de ton année ?
Où en suis-je ?
Seigneur, je ne le sais pas.
Mais ce que je sais, c’est que tu me voudrais présente devant ta face,
pour que je marche selon la droiture.
« Si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort », dit Jésus
Que nous marchions vivants de Ta Parole,
Vivante de ta Parole qu’elles marchent les novices de Bafut Sœur…
et la postulante Ernestine
ainsi que Sœur Mireille et Sœur Shalom
Sœur Maria
